

Immobilier : un marché tertiaire au ralenti dans les Alpes-Maritimes
Malgré le fléchissement de 2024, le marché des bureaux sur la Côte d’Azur reste équilibré comparé à d’autres régions en France. Il ne présente pas de risque de sur-offre et accuse même un déficit en programmes neufs dans la Métropole niçoise.
La Tribune
22/08/2025

“On va de déception en déception”: pourquoi cette galerie commerciale de Cannes peine à exister
La célèbre galerie commerciale du Gray d’Albion, dans le centre-ville de Cannes, se meurt depuis plusieurs années malgré les tentatives de dynamisation du conseil syndical et du syndic.
En plein marasme commercial depuis de nombreuses années, la galerie du Gray d’Albion ne parvient pas à rebondir.
Le site prestigieux qui incarnait “the place to be” dans les années 80 à 2000 avec d’illustres griffes comme Yves Saint-Laurent, Hermès ou Façonnable, n’est plus qu’un désertique dédale de carrelage blanc qui relie la dynamique rue d’Antibes et la luxueuse Croisette.
Si les cellules commerciales qui donnent sur les rues extérieures sont occupées (condamnant d’ailleurs leur accès à la galerie), la plupart de celles de l’intérieur sont vides.
Leurs vitrines bardées de panneaux “à louer” ou “à vendre”. À peine une dizaine d’enseignes perdurent sur une trentaine de locaux commerciaux.
Réorientation vers d’autres activités?
Néanmoins, la tendance serait « à une légère baisse des loyers, selon Pierre Ceci. “Les prétentions ont baissé un peu au Gray“, confirme le responsable du pôle commerce de l’agence Europa qui propose deux locaux à louer à 2000 euros par mois. “Soit quatre demandes dont trois farfelues en un an et demi.”
Selon ce professionnel, “la galerie devrait se réorienter vers les services, les bureaux, les brokers…“.
Même difficultés pour Grégory Renault, de Nicea conseil qui a deux cellules à louer sur les bras depuis un an: une de 38 m2 à 1943 euros par mois (loyer et charges) et une de 75 m2 à 4 462 euros par mois (loyer et charges).
“Les loyers doivent redevenir attractifs si les investisseurs souhaitent rendre la galerie à nouveau compétitive et relancer sa commercialité. L’autre piste serait de proposer les locaux à l’acquisition car il n’y a rien à vendre sur Cannes. Tout est une question de prix, rappelle-t-il. Certains locaux se commercialisent en quelques mois s’ils sont au prix, alors que d’autres sont vides depuis des années… Le problème: lorsque vous baissez le loyer, vous baissez également la valeur de rendement et donc la valeur du bien. C’est difficile à admettre pour des foncières ou des SCPI qui doivent des comptes à leurs actionnaires, surtout quand elles ont acheté les biens chers à l’époque, sur un marché qui était plus porteur. Et comme il n’y a pas beaucoup de transactions, nous avons du mal à justifier notre argumentaire avec des valeurs de référence“.
www.nicematin.com
28/07/2025

Le pavillon galope, les bureaux patinent
URBANISME
La livraison du chantier du Pavillon de la Mer, sur le port de Nice, est confirmée pour fin avril. Après avoir accueilli l’UNOC, la ville récupèrera les bâtiments pour y aménager une gare maritime et y accueillir des évènements.
La grand-messe internationale de l’immobilier bat son plein à Cannes avec un absent parmi les exposants locaux pour cette édition 2025 du MIPIM, la Métropole Nice Côte d’Azur. Qu’à cela ne tienne, Christian Estrosi, son président, n’a pas renoncé à mettre ses projets sous les projecteurs.
Il a appelé près de 300 acteurs économiques du territoire, dont les professionnels de l’immobilier d’entreprise réunis au sein du CICA (Club Immobilier Côte d’Azur) pour leur présenter l’avancement des travaux du futur Pavillon de la Mer, aménagé sur le port pour accueillir en juin prochain, la 3e Conférence des Nations Unies sur l’Océan (UNOC). ‘Les travaux ont démarré en janvier et nous serons prêts pour la remise des clés des bâtiments aux Nations Unies fin avril’, a rassuré le maire de Nice.
Le chantier, confié à GL-Events (Lyon), comprend trois bâtiments démontables pour un total de 10.600m² avec un triple défi à relever, patrimonial (il est réalisé dans un secteur sauvegardé), environnemental, et sur un timing ultra-serré.
CE PALAIS, C'EST UN ATOUT ÉCONOMIQUE, AU BORD DE LA MER, QUI NOUS FAISAIT DÉFAUT
Une fois le rideau tiré sur l’UNOC, la ville récupèrera dès juillet les bâtiments dont une partie sera conservée pour y aménager une gare maritime et le futur centre de congrès pour lequel, a précisé Christian Estrosi, ‘des réservations venant du monde entier ont déjà été enregistrées pour des évènements en 2026 et 2027 et même jusqu’en 2030’. De quoi rassurer les professionnels du tourisme inquiets depuis la démolition d’Acropolis sur l’avenir du tourisme d’affaires. Nice disposera bien, à terme, d’un (vrai) palais des expositions, qui devrait être construit comme prévu sur l’actuel site du MIN à l’Ouest de la ville, a confirmé le maire.
Attentisme sur le marché de l’immobilier de bureaux
‘Ce projet fera rayonner encore plus Nice et son port’, a insisté Christian Estrosi. Un message bien accueilli aussi par les commercialisateurs de l’immobilier d’entreprise qui pointent le faible stock disponible sur Nice et invitent les promoteurs, aujourd’hui prudents, à lancer de nouveaux programmes.
Le bilan 2024 dressé par le CICA recense 65.704m² de bureaux commercialisés sur les Alpes-Maritimes, soit une baisse de 16% par rapport à 2023, baisse inférieure toutefois aux -19 % enregistrés sur le marché des régions en France.
Nice et Sophia Antipolis font jeu égal avec plus de 32.000m2 placés chacune. Comparé aux transactions réalisées en 2023, c’est mieux pour Nice, moins bien pour la technopole. Le stock augmente légèrement (+4,7%), à 95.423m2 de surface disponible avec une offre neuve très limitée (9.000m2) à Nice, plus consistante (23.757m²) à Sophia Antipolis compte tenu des dernières livraisons de programmes. Les prix à la location restent relativement stables, autour de 260€ du m2 à Nice, 240€ côté Sophia Antipolis.
‘Les fondamentaux du marché restent bons’, estime Grégory Renault de Nicéa Conseil, malgré ‘un certain attentisme tant du côté de la demande que des promoteurs’, ce qui laisse augurer un exercice 2025 dans la même tonalité que 2024, à moins d’un rebond de la demande au second semestre, si les acteurs économiques retrouvent la confiance.
CHRISTIANE NAVAS
www.tribuca.net
14/03/2025

Immobilier d’entreprise. A Nice, un taux de vacance exceptionnellement bas
A Nice, un taux de vacance exceptionnellement bas
C’est l’un des enseignements issus de l’enquête du CICA présentée au SIMI sur le stand de la Métropole Nice Côte d’Azur ce 10 décembre.
2,7% sur la Métropole, 3,5% sur Sophia Antipolis, là où la moyenne nationale toise les 7%, et où le taux de vacance structurelle se situe aux alentours des 5%.
Les services métropolitains parlent de dynamisme, mais attention, ce sont bien là les chiffres de l’immobilier tertiaire, et il faudra scruter, sur le MIPIM à Cannes, ceux du commerce.
Avec 74.900m2 disponibles sur l’ensemble du département, Nice a vidé ses stocks, et subit un peu l’effet ‘ventre mou’ après la sortie, les années précédentes, de bâtiments tertiaires neufs vite remplis.
Et l’attentisme ambiant, qui ralentit les investissements, ne pousse pas à une floraison de nouveaux programmes. ‘Pourtant sur le marché niçois, la prise de risque est minime’, juge Grégory Dubois, directeur métropolitain du développement économique, ‘dès la livraison, on sait qu’il y aura preneurs.’
Christian Estrosi aura fait à Paris la promotion d’un tourisme d’affaires réactivé par la proposition de palais des congrès sur le port, dès que l’UNOC aura rendu le site, en juin prochain.
‘Ce sera un lieu de vie, pas seulement de congrès’, confirment Hervé Laubertie (directeur de Team Nice Côte d’Azur), Emmanuel Dupart (directeur délégué de France Congrès Evénements) et Julien Bonafous, directeur commercial de Centaurus Maison Albai, forcément intéressé par ce renouveau attendu de la filière MICE à Nice.
L’Office du tourisme a déjà booké une dizaine d’events sur la nouvelle structure du port, une quarantaine d’autres seraient en discussion.
Grégory Renault, en digne émissaire du CICA, s’est concentré sur Ecovallée et les programmes à venir pour retrouver une offre et une demande cohérentes, avec la franche relance des marchés tertiaires et résidentiels sur Nice Ouest.
‘Les grandes orientations, depuis 15 ans, donnent la bonne direction, le projet pour Nice continue, l’offre sur l’Ouest s’est densifiée et la demande est là’ : pour Hervé Laubertie, reste à patienter jusqu’à la sortie, à court terme, des prochains programmes.
www.tribuca.net
31/12/2024

Immobilier tertiaire : près de 30.000 m2 de transactions au 1er semestre sur la Côte
Avec près de 30.000 m2 de transactions au 1er semestre, des taux de vacance relativement faibles et une demande stablel, le marché immobilier tertiaire reste résilient sur la Côte d’Azur selon le baromètre présenté par le Club Immobilier Côte d’Azur. En revanche l’essentiel des demandes sont inférieures 500 m2 et le contexte économique s’assombrit.
Un point sur l’immobilier tertiaire du premier semestre 2024 sur la Côte d’Azur : c’est ce qui a été fait cette semaine par le CICA (Club Immobilier Côte d’Azur), à l’occasion d’une viste à Sophia Antipolis sur le site du programme SymphonIA, mené par Valimmo Reim et en cours de livraison (deux bâtiment pour une surface de près de 10.000 m2). (Photo DR : le programme SymphonIA au coeur de Sophia Antipolis).
Sur cette période, les volumes de transactions enregistrés sur le département atteignent 29.554 m², dont 11.663 m² pour Sophia Antipolis et 17.891 m2 pour Nice Métropole. Le taux de vacances se stabilise à 3,5 % pour la technopole. Un marché immobilier tertiaire qui, comme pour le résidentiel, se montre plus difficile. “Si notre marché reste résiliant avec des taux de vacance relativement faibles et une demande stable, nous notons cependant que l’essentiel des demandes sont inférieures à 500 m2, “ note ainsi Grégory Renault, président de Nicea Conseil. “Cela compte tenu du ralentissement économique, de la conjoncture actuelle et de l’actualité politique des derniers mois. Ce ralentissement traduit également un certain attentisme des dirigeants avec des prises de décisions, des investissements et des délais de signatures plus longs.”
“Autre frein dans la prise de décision des utilisateurs : l’augmentation du prix des travaux d’aménagement avec notamment la flambée du prix des matériaux (il a triplé par exemples pour les ferrailles). D’où un fait nouveau : l’importance du prix des travaux d’aménagement dans la décision d’un client. A noter également que l’offre neuve a baissé de manière conséquente due essentiellement au manque de nouveaux projets et des taux de pré-commercialisations demandés par les promoteurs qui sont de plus en plus élevés, pour atteindre 50% dans certains cas.”
www.webtimemedias.com
14/10/2024

Alpes-Maritimes : « Moins de m² et plus de services », Grégory Renault, président de Nicea Conseil, conseil en immobilier d’entreprise
Comment se porte le marché du tertiaire dans le département ?
Malgré un contexte chahuté, le marché s’est bien tenu au premier semestre 2023, avec un volume de transactions de près de 44 000 m².
Je suis plus nuancé pour le second semestre, les offres neuves immédiatement disponibles s’épuisant. Si nous n’atteignons pas le niveau de 2022 (83 800 m²), nous pouvons nous attendre à un chiffre légèrement supérieur à 2021 (62 500 m²).
Autre bon indicateur, le taux de vacance, de 4 % à Sophia Antipolis et de 3 % à Nice.
La place de Nice perd-elle du terrain ?
On constate que Nice décroche un peu car l’offre neuve y a été quasiment absorbée, ce qui n’est pas le cas sur Sophia Antipolis dont la dynamique est continue.
On le voit aussi au niveau des surfaces disponibles (90 000 m² au total sur les Alpes-Maritimes) dont près des trois quarts sont sur la technopole azuréenne (65 000 m²).
C’est un marché où il y a encore des projets, du foncier, de la seconde main et surtout des bâtiments à restructurer, ce qui est plus difficile à trouver à Nice.
Or, le restructuré est un produit intéressant dans la mesure où il arrive plus rapidement sur le marché.
Notez-vous des tendances particulières en termes de demandes ?
Nous observons une baisse en termes de m², l’effet télétravail assurément, même si l’on s’interroge sur sa pérennité.
Nous constatons également, à Nice, une volonté des entreprises de disposer de services à proximité, et notamment de revenir dans le centre-ville, plus difficile à servir qu’à l’ouest de la ville.
www.lemoniteur.fr
15/12/2023


Nicea Conseil décrypte les impacts du Covid sur le marché tertiaire
L’état doit mettre en place des ordonnances pour accompagner les bailleurs et les locataires et clarifier certains points.
Il est important de rappeler que l’immobilier arrive en second plan après la masse salariale dans les coûts d’exploitation des entreprises. Le premier ayant été en parti résolu par les actions du gouvernement et le chômage partiel, c’est loin d’être le cas sur l’immobilier et il est désormais primordial que l’état légifère en apportant des solutions claires et précises, afin d’éviter d’attendre des accords à la convenance de chacun.
Les annonces faites sur les incitations des gros bailleurs créent une certaine inégalité auprès des TPE/PME qui sont domiciliés chez des bailleurs privés et qui ne bénéficient d’aucune aide.
Le retrait des pénalités n’est pas suffisant et le report n’est pas une solution car elles ne rattraperont jamais des mois sans activité et sans chiffre d’affaires. Les dettes ne vont faire que s’accumuler rendant les TPE/PME encore plus fragiles en fin d’année. Les bailleurs risquent ainsi de se retrouver avec des locataires en redressement ou en liquidation, qui ne pourront faire face à leurs engagements, ce qui entraînera indéniablement une dépréciation de leur actif immobilier qui deviendra alors « invendable ».
Les bailleurs ayant des échéances en cours peuvent demander des reports de 6 mois minimum à leur banque, permettant ainsi de faire face à une annulation de 3 mois de loyers pour accompagner leurs locataires à sortir plus forts de cette crise sanitaire, et contribuer à l’effort de guerre auquel tout le monde doit faire face. C’est principalement sur ce point que l’Etat doit travailler, sur la mise en place d’un système incitatif pour les propriétaires privés afin de les aider et de les accompagner.
D’autre part, une exonération des charges comme dans le domaine de la restauration peut également être une solution, surtout pour les sociétés de services qui n’encaisseront pas de chiffre d’affaires immédiatement, tout comme il aurait été judicieux de mettre en place une ordonnance pour neutraliser les deux mois pour l’ensemble des propriétaires et des locataires.
Seulement, aucun organisme professionnel comme la Fnaim, la Rics ou encore les associations de bailleurs n’ont été sollicités sur le sujet.
Nous avons mis la lumière sur le BTP, c’était indispensable pour ne pas retarder l’acte de bâtir. Maintenant il faut traiter l’aspect immobilier et toute sa « chaîne de production » et notamment les professionnels de l’immobilier (agences, architectes, experts…). Ils ne pourront créer à nouveau de la richesse que plusieurs mois après la reprise…
L’essoufflement du coworking va ouvrir d’autres horizons.
La tendance du coworking va être fortement impactée. Un système de partage qui va connaitre ses limites pour des raisons sanitaires. Il nécessitera une organisation complexe et lourde, et qui va tendre à être confronté à des facteurs sociétaux et de confiance des utilisateurs.
Le coworking va muter et malheureusement entrainer plusieurs acteurs qui avaient investis dans ce modèle. Nous allons voir l’évolution d’un autre système, le « Flex office ». Une méthode vers qui se dirige de plus en plus de personnes, salariés et chefs d’entreprises qui recherchent de plus en plus de solutions souples avec des espaces privatifs dédiés, d’avantages de services et surtout une optimisation des coûts.
Les changements de comportements peuvent devenir une menace pour le métier de l’immobilier tertiaire.
Les consommateurs, dans notre cas les chefs d’entreprises, changent les indices de calculs des coûts et leur vision sur l’immobilier traditionnel.
Alors que nous parlons de « valeur locative de marché », ils parlent de « coût d’utilisation » et de « valeur d’usage ». On ne négocie plus du mètre carré mais des durées d’engagements et des « business case » ou études de risques à moyen terme. On cherche davantage de flexibilité, de réactivité par rapport au marché. Les utilisateurs n’hésitent pas ainsi à opposer le « coût admissible par poste de travail » à la « valeur locative de marché », utilisée par les professionnels de l’immobilier.
C’est aussi pour cette raison que le Flex office va se démocratiser. Les locataires vont accepter un cout plus élevé avec des fonctionnements plus agiles, qui apportent plus de services et de meilleures connectivités tout en rationnalisant les espaces et donc faire des économies à la clef.
Ce système va répondre à un besoin de liberté qui permettra une meilleure adaptabilité aux saisonnalités, à la conjoncture et à des événements comme nous le vivons actuellement.
Il va y avoir une consommation différente des espaces de bureaux et nous allons être confronté à une nouvelle manière de vivre, une nouvelle organisation sociétale dont nous devrons rapidement adapter les décrets et les lois en vigueur pour accompagner ce changement. L’immobilier de bureaux doit se réinventer…Il maintenant venu le temps de préparer le monde d’après !
Immotertiaire.fr
04/05/2020

En confinement avec… Grégory Renault – Immoweek
Grégory Renault, président de Nicea Conseil, société affiliée à Savills, entrebâille la fenêtre de sa maison de Bormes-les-Mimosas et nous fait part de son confinement.
Vous souhaitez, vous aussi, témoigner de cette situation exceptionnelle ? C’est simple : redaction@immoweek.fr !
Comment se déroule votre journée ?
J’essaye de garder le rythme et, surtout, de rester en contact avec mes équipes. J’ai pris la décision de fermer nos bureaux de Nice et de Sophia-Antipolis dès le 16 mars dernier afin de protéger nos collaborateurs et nos clients, mais nous restons tous joignables par mail et sur nos portables. Nous essayons au maximum de suivre les dossiers en cours et d’accompagner au mieux nos clients, même si ce n’est pas toujours évident.
Je m’investis également beaucoup du côté associatif et notamment au sein du Club Immobilier Côte d’Azur (CICA) dont je suis le vice-président. Nous organisons une table ronde virtuelle pour nos membres ayant pour thème : « instruction des permis de construire, comment préparer la reprise ! ».
Il est important que nous restions tous mobilisés et solidaires pendant cette période.
Où êtes-vous ?
Quelle est la pièce préférée de votre logement ?
Que lisez-vous ? Avez-vous un livre à nous recommander ?
Un film ou une série télé que vous allez revoir ? Que vous nous recommandez ?
Un album de musique à nous conseiller ?
Comment faites-vous pour garder la forme ?
Avez-vous un message à faire passer à nos lecteurs et aux autres confinés ?
Prendre soin de vous, de vos proches et de vos collaborateurs ! Nos collaborateurs sont la première richesse de nos entreprises et c’est le moment de leur montrer. En profiter également pour revenir aux choses simples et essentielles comme un bon repas en famille. Cette crise sanitaire due au coronavirus va nous permettre, je l’espère, de remettre l’humain au cœur de notre société et de prendre d’avantage soin des autres et de nos proches. Incontestablement, le monde va changer après le Covid-19…
www.immoweek.fr
09/04/2020
